[Luna] - Chroniques du monde émergé, tome 1 : Nihal de la Terre du Vent, Licia TROISI

 

  Chroniques du monde émergé, tome 1

Nihal de la Terre du Vent

Licia TROISI

  Édition Pocket Jeunesse
495 pages - 8.10€

Genre(s) : Fantasy, Jeunesse
30/84

Résumé :

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Nihal est une jeune fille très étrange : oreilles pointues, cheveux bleus, yeux violets tout la distingue des autres habitants du Monde émergé. Fille d'un célèbre armurier, elle passe son temps à jouer à la guerre avec une bande de garçons. Mais la nuit, des voix plaintives et des images de mort hantent l'esprit de Nihal. Et lorsque le terrible Tyran envahit La Terre du Vent, elle comprend que ses cauchemars sont devenus réalité. L'heure du véritable combat a sonné. Nihal doit devenir une vraie guerrière et défendre la paix, à tout prix. Ses seuls alliés : Sennar, le jeune magicien, et une infaillible épée de cristal noir.

Mon avis :
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Sans être déçue par cette découverte, je dois dire que je m'attendais à autre chose : j'ai été surprise de la banalité apparente de l'histoire. Pour qu'on en entende autant parler, je pensais qu'elle sortait vraiment du commun ! Mais non... Cela dit, ce n'est pas dérangeant non plus : ce livre m'a rappelé de très bons souvenirs de lecture avec d'autres livres du genre.

 Mais bon, cette banalité est rattrapée avec le personnage de Nihal qui n'est pas vraiment basique : j'ai beaucoup aimé le fait que Licia Troisi n'en fait pas une héroïne parfait mais une jeune demoiselle intrépide, parfois hésitant et ayant un grosse prédisposition à avoir la grosse tête et les chevilles enflées ! Chez elle, j'ai apprécié certains côtés et détesté certains autres : cette dualité est vraiment très agréable.

J'ai beaucoup apprécié l'écriture de l'auteur : fluide, agréable, dynamique, s'adressant à toutes les catégories de lecteurs... Je ne vois pas comment je ne pourrais pas vous conseillez de vous plonger dans les Chroniques du monde émergé !

 Mon avis complet est sur Lunazione.

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Ma note : 8.5/10
(Pour le côté addictif de l'histoire malgré sa pseudo-banalité)