Quatrième de couverture:
François pensa : si elle commande un déca, je me lève et je m’en vais. C’est la boisson la moins conviviale qui soit. Un thé, ce n’est guère mieux. On sent qu’on va passer des dimanches après-midi à regarder la télévision. Ou pire : chez les beaux-parents. Finalement, il se dit qu’un jus ça serait bien. Oui, un jus, c’est sympathique. C’est convivial et pas trop agressif. On sent la fille douce et équilibrée. Mais quel jus ? Mieux vaut esquiver les grands classiques : évitons la pomme ou l’orange, trop vu. Il faut être un tout petit peu original, sans être toutefois excentrique. La papaye ou la goyave, ça fait peur. Le jus d’abricot, ça serait parfait. Si elle choisit ça, je l’épouse… – Je vais prendre un jus… Un jus d’abricot, je crois, répondit Nathalie. Il la regarda comme si elle était une effraction de la réalité. '
Mon avis:
Une lecture simple et agréable, avec peu de personnages, mais avec Nathalie: une jeune femme qui a tout pour etre heureuse et pour qui le bonheur va basculer dans la tristesse du jour au lendemain. Elle devra se reconstruire et apprendre à aimer à nouveau, aimer pour elle, etre elle.
J'avais beaucoup entendu parler de ce récit, en bien, tout le monde me le recommandait. Je l'ai lu, il ne m'a ni vraiment plu, ni vraiment déçu. Il ne restera pas impérissable. En prime, je viens de voir qu'une adaptation, relativement libre, était au cinéma... Les extraits ne me disent rien de bon!
Une lecture sympa qui ne m'aura pas marquée.
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